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Langage inclusif
C’est pourquoi L’ISDH emploie le plus souvent possible des termes épicènes, c’est-à-dire qui ne varie pas selon le genre (par exemple, « le Secrétariat » plutôt que « les travailleurs/les travailleuses »).
Lorsque l’usage de termes épicènes n’est pas possible, L’ISDH emploie systématiquement les accords féminins et non-binaires, pour désigner soit des individus dont le genre n’est pas connu, soit des groupes susceptibles d’inclure des femmes ou des personnes non-binaires. En français, cela se traduit par l’usage de points médians, et l’ajout de terminaisons supplémentaires (le plus souvent -e pour les femmes et -x pour les personnes non-binaires).
L’ISDH est consciente que cette pratique ne fait pas consensus et peut gêner certain.e.x.s lecteur.trice.x.s. Elle considère toutefois que son rôle consiste à instituer les meilleures pratiques possibles, y compris quand celles-ci ne sont pas encore très répandues.